Serge Lapisse
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SERGE LAPISSE
!
http://www.stihi.ru/2017/01/10/12635
LE PRINTEMPS
Un lezard mobserve craintif.
Une coccinelle vient se percher
Sur une tige de mon rosier en fleur:
Quelque chose se prepare.
Le printemps, telle une ombrelle qui souvre
Sur une belle qui passe,
Vient egayer la fte de la vie,
Ouverte par la saison nouvelle.
Le printemps apparait
Avec ses couleurs vives.
La grisaille de lhiver sevanouit
Sous la pousse de lastre de lumiere.
Les cerfs-volants virevoltent dans lair
Comme des papillons
Transportes par le vent montant
Pour la joie des enfants eblouis.
Ils senfuient tels des etoiles filantes
Au loin des regards,
Dans le firmament
Dun ciel dazur delave.
Les arbres shabillent
Pour fter la naissance dune saison
Qui avive les sentiments
Des amants epris de tendresse.
La seve monte de partout
Liberant avec elle la vie
Dans sa superbe splendeur
Pour donner aux hommes lesperance.
Lhiver est loin maintenant
Avec ses nuits de solitude
Ou rien dans la nature
Ne laisse transparaitre le reve.
Les grelons abondants envahissent
Lespace dun instant la terre,
Cette nappe blanche bien vite evaporee
Sous les rayons du soleil.
Les feuilles frissonnent,
Les oiseaux tombent du nid,
Encore engourdis par
Les restes de lhiver.
La nature passe sa robe de fete,
Les fleurs souvrent de partout,
Les arbres mettent leur parure,
Pour accueillir les nouveaux venus.
Les oiseaux sesclaffent
Dans lair embaume du matin,
Heureux de retrouver la vie
Ou petillent leurs eclats joyeux.
Les insectes envahissent la terre.
En fourmilieres ils oeuvrent,
Chacun avec ses instincts, pour
Animer la campagne qui seveille.
Un eclat de lumiere
Oscille par ma fentre entrouverte:
Cest le soleil qui montre
Ses premiers rayons oranges.
Le printemps jongle
Avec lete pour
Laisser passer la pluie argentee
Sur mon balcon.
Dans son envolee superbe
La saison nouvelle enivre les coeurs,
Rend legeres les mes,
Emportees par les amours buissonnieres.
Les bourgeons comme des coupelles
Accueillent les gouttelettes de rosee
Scintillant en reflets argentes
Sous les caresses du soleil matinal.
Dans limmensite de la plaine
Qui danse sous les rayons du soleil,
Je sens la nature qui segaye
Avec leffervescence de la vie.
Un air leger plane sur la vallee.
Des senteurs troublantes
Emplissent latmosphere
Du mystere du monde qui seveille.
Jobserve, apaise, la nature,
Le beaute qui renait
A la vie, dun jour nouveau
Qui pointe lhorizon des nuits.
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12.02.17
SERGE LAPISSE
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http://www.stihi.ru/2017/01/10/12635
LE PRINTEMPS
Un lezard mobserve craintif.
Une coccinelle vient se percher
Sur une tige de mon rosier en fleur:
Quelque chose se prepare.
Le printemps, telle une ombrelle qui souvre
Sur une belle qui passe,
Vient egayer la fte de la vie,
Ouverte par la saison nouvelle.
Le printemps apparait
Avec ses couleurs vives.
La grisaille de lhiver sevanouit
Sous la pousse de lastre de lumiere.
Les cerfs-volants virevoltent dans lair
Comme des papillons
Transportes par le vent montant
Pour la joie des enfants eblouis.
Ils senfuient tels des etoiles filantes
Au loin des regards,
Dans le firmament
Dun ciel dazur delave.
Les arbres shabillent
Pour fter la naissance dune saison
Qui avive les sentiments
Des amants epris de tendresse.
La seve monte de partout
Liberant avec elle la vie
Dans sa superbe splendeur
Pour donner aux hommes lesperance.
Lhiver est loin maintenant
Avec ses nuits de solitude
Ou rien dans la nature
Ne laisse transparaitre le reve.
Les grelons abondants envahissent
Lespace dun instant la terre,
Cette nappe blanche bien vite evaporee
Sous les rayons du soleil.
Les feuilles frissonnent,
Les oiseaux tombent du nid,
Encore engourdis par
Les restes de lhiver.
La nature passe sa robe de fete,
Les fleurs souvrent de partout,
Les arbres mettent leur parure,
Pour accueillir les nouveaux venus.
Les oiseaux sesclaffent
Dans lair embaume du matin,
Heureux de retrouver la vie
Ou petillent leurs eclats joyeux.
Les insectes envahissent la terre.
En fourmilieres ils oeuvrent,
Chacun avec ses instincts, pour
Animer la campagne qui seveille.
Un eclat de lumiere
Oscille par ma fentre entrouverte:
Cest le soleil qui montre
Ses premiers rayons oranges.
Le printemps jongle
Avec lete pour
Laisser passer la pluie argentee
Sur mon balcon.
Dans son envolee superbe
La saison nouvelle enivre les coeurs,
Rend legeres les mes,
Emportees par les amours buissonnieres.
Les bourgeons comme des coupelles
Accueillent les gouttelettes de rosee
Scintillant en reflets argentes
Sous les caresses du soleil matinal.
Dans limmensite de la plaine
Qui danse sous les rayons du soleil,
Je sens la nature qui segaye
Avec leffervescence de la vie.
Un air leger plane sur la vallee.
Des senteurs troublantes
Emplissent latmosphere
Du mystere du monde qui seveille.
Jobserve, apaise, la nature,
Le beaute qui renait
A la vie, dun jour nouveau
Qui pointe lhorizon des nuits.
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